Note : pour ces auteurs les effets biologiques sont faibles en dose non thermique, les mécanismes incompris. Le principal danger reste lié à la conduite automobile avec téléphone portable ou lié au stress.

Bioelectromagnetics 2003 Jan;24(1):49-62

Les effets de radiation électromagnétique de téléphones portables sur le système nerveux central.


Effects of electromagnetic radiation of mobile phones on the central nervous system.

Hossmann KA, Hermann DM.
Max-Planck-Institute for Neurological Research, Department of Experimental Neurology, Cologne, Germany.

Avec l'utilisation croissante de communication de portable, les soucis ont été exprimés des interactions possibles de radiation électromagnétique avec l'organisme humain et, particulièrement le cerveau. Les effets sur l'activité neuronale électrique, le métabolisme d'énergie, des réponses génomiques, l'équilibre de neurotransmetteur, la perméabilité de barrière cérébrale de sang, la fonction cognitive, le sommeil et des maladies diverses cérébrales incluant des tumeurs cérébrales sont passés en revue. La plupart des effets annoncés sont faibles tant que l'intensité de radiation reste dans la gamme non thermique et aucun élément de la recherche passée en revue ne donne une indication des mécanismes impliqués à cette gamme. Cependant, les risques pour la santé peuvent se développer des conséquences indirectes de téléphonie mobile, comme le taux d'incidence brusquement accru d'accidents de la route causés par la téléphonie pendant la conduite et probablement aussi par les réactions de stress qu’ ont témoigné des gens quand les téléphones cellulaires sont employés en places publiques. Ceux des effets de santé indirects dépassent vraisemblablement les perturbations directes biologiques et doivent être examinés plus en détail dans l'avenir.


With the increasing use of mobile communication, concerns have been expressed about the possible interactions of electromagnetic radiation with the human organism and, in particular, the brain. The effects on neuronal electrical activity, energy metabolism, genomic responses, neurotransmitter balance, blood-brain barrier permeability, cognitive function, sleep, and various brain diseases including brain tumors are reviewed. Most of the reported effects are small as long as the radiation intensity remains in the nonthermal range, and none of the research reviewed gives an indication of the mechanisms involved at this range. However, health risks may evolve from indirect consequences of mobile telephony, such as the sharply increased incidence rate of traffic accidents caused by telephony during driving, and possibly also by stress reactions which annoyed bystanders may experience when cellular phones are used in public places. These indirect health effects presumably outweigh the direct biological perturbations and should be investigated in more detail in the future.